L’averse offre à Frankenheimer le cadre idéal pour un tragique accident qui marque l’épreuve. La suspension
de la voiture de Sarti ( Montand ) se brise et le bolide devenu fou quitte la piste fauchant deux enfants. Aron
arrive premier. Sarti qui s’est tiré sain et sauf de l’accident est moralement bouleversé.
de la voiture de Sarti ( Montand ) se brise et le bolide devenu fou quitte la piste fauchant deux enfants. Aron
arrive premier. Sarti qui s’est tiré sain et sauf de l’accident est moralement bouleversé.
Pete Aron (James Garner), engagé par l'industriel japonais Yamura pour courir à nouveau, gagne à Francorchamps.
John Surtees, le vrai gagnant de la course.
Françoise Hardy et Yves Montand à Francorchamps. Derrière Françoise on voit Brian Bedford.
Françoise Hardy et Yves Montand, une histoire d’amitié.
“ C’est avec Yves Montand que mes affinités furent les plus fortes. Il était si chaleureux, si naturel qu’à ses côtés
ma timidité s’envolait. Son humour et la distance qu’il entretenait vis-à-vis de lui-même ( Françoise a horreur des
gens imbus de leur personne ) , prenant très au sérieux son travail mais pas le reste, m’enchantaient. Ce n’est
qu’après le dernier tour de manivelle qu’il parla de l’épreuve qu’avait représentée pour lui l’obligation
d’apprendre à piloter, et avoua avec sa drôlerie habituelle qu’il en avait définitivement par-dessus la tête de
la compétition automobile et des voitures de course. ( Le désespoir des singes p. 75 ).
“ C’est avec Yves Montand que mes affinités furent les plus fortes. Il était si chaleureux, si naturel qu’à ses côtés
ma timidité s’envolait. Son humour et la distance qu’il entretenait vis-
qu’après le dernier tour de manivelle qu’il parla de l’épreuve qu’avait représentée pour lui l’obligation
d’apprendre à piloter, et avoua avec sa drôlerie habituelle qu’il en avait définitivement par-
Phil Hill (champion du monde 1961) et Yves Montand à Spa
Yves Montand a commencé par piloter lui-même
mais, après avoir eu une grosse frayeur dans un
dérapage, se faisait tirer sa voiture par une Ford
GT40 à plus de 200 km/h avec Phil Hill au volant.
dérapage, se faisait tirer sa voiture par une Ford
GT40 à plus de 200 km/h avec Phil Hill au volant.
Jean-Pierre Sarti sort vivant de son crash mais deux
jeunes garçons n’ont pas cette chance.
