Novembre 1963(3)
Emissions de télé
Sacha Distel chante, en s'accompagnant au banjo, "La
pluie d'hiver sur les carreaux". C’est l’adaptation de
“Washington Square”, musique de B. Goldstein.
pluie d'hiver sur les carreaux". C’est l’adaptation de
“Washington Square”, musique de B. Goldstein.
Sacha Distel et Nancy Holloway font assaut de politesse
en échangeant des extraits de chansons très françaises ou
très américaines comme "Old man river", "Scoubidou"
en échangeant des extraits de chansons très françaises ou
très américaines comme "Old man river", "Scoubidou"
Maria Vincent chante "C'est la vie"
Jean Yanne, Paul Mercey et Lawrence Riesner, en
romains, interprètent le sketch de "La circulation à Rome".
romains, interprètent le sketch de "La circulation à Rome".
Sacha Distel chante "La,la,la", accompagné par les
danseurs de Georges Reich
danseurs de Georges Reich
Après avoir partagé quelques notes à la guitare avec
Sacha Distel, Françoise Hardy chante "Le premier
bonheur du jour" .
Sacha Distel, Françoise Hardy chante "Le premier
bonheur du jour" .
Jean Pierre Cassel et Sacha Distel dansent sur une
chanson écrite pour l'occasion, par Serge Gainsbourg.
chanson écrite pour l'occasion, par Serge Gainsbourg.
Sacha Distel chante "Oh, la belle vie".
Le boxeur Ray Sugar Robinson montre ses talents de musi-
Sacha Distel et Daniel Cauchy interprètent le
sketch "Chez le quincaillier".
sketch "Chez le quincaillier".
Gilbert Bécaud chante "les tantes Jeanne".
Gilbert Bécaud chante "Quand Jules est au violon"
accompagné par les deux compères Distel et Cassel
qui font quelques pas de danse avec lui.
accompagné par les deux compères Distel et Cassel
qui font quelques pas de danse avec lui.
.Sacha Distel chante "Marche tout le long du chemin"
entouré des danseurs de la troupe de Georges Reich.
entouré des danseurs de la troupe de Georges Reich.
En octobre 1963 Nancy Holloway passe une deuxième
fois à l’Olympia, cette fois-ci aux côtés de Gilbert Bécaud
fois à l’Olympia, cette fois-
Maritie et Gilbert Carpentier marquent leurs créations, comme le
Sacha Show qui est une forme de variété encore inédite en France, par
des duos inattendus d'artistes, par leur capacité à faire chanter des
comédiens ou à faire jouer et danser des chanteurs.
En voyant la photo des répétitions ci-dessus on pourrait s’attendre à
un duo mais Sacha et Françoise ne font que partager quelques notes à
la guitare. Ils vont se rattrapper, trois ans plus tard, dans le Sacha
Show du 16/11/66 en nous offrant “Le premier bonheur” en duo.
En 1966 Françoise ne porte plus sa petite robe noire et classique de la
boutique Marie-Martine mais le smoking révolutionnaire de YSL.
Sacha Show qui est une forme de variété encore inédite en France, par
des duos inattendus d'artistes, par leur capacité à faire chanter des
comédiens ou à faire jouer et danser des chanteurs.
En voyant la photo des répétitions ci-
la guitare. Ils vont se rattrapper, trois ans plus tard, dans le Sacha
Show du 16/11/66 en nous offrant “Le premier bonheur” en duo.
En 1966 Françoise ne porte plus sa petite robe noire et classique de la
boutique Marie-
Là Françoise a
un trou de
mémoire . Roger
Lanzac, en
compagnie de
Mireille, vient
alors la rassurer.
“Le premier
malheur du jour”.
un trou de
mémoire . Roger
Lanzac, en
compagnie de
Mireille, vient
alors la rassurer.
“Le premier
malheur du jour”.
Sacha Show 9 novembre 1963
(diffusion 30 décembre 1963)
(diffusion 30 décembre 1963)
Françoise, qui vient d’aborder sa deuxième semaine à l’Olympia (en première partie de Richard
Anthony) parle carrière avec Mireille. On est venu la chercher au bout de la matinée pour visiter le
petit conservatoire. Mireille propose à Françoise de ramener toute la classe à L’Olympia et Françoise
dit qu’elle ne demande pas mieux.
Mireille lui demande une chose difficile, de fredonner une chanson qu’elle aime bien “J’aurais voulu”
ce qui semble presque un obstacle insurmontable pour Françoise qui finalement chante, en vitesse,
un petit bout du premier couplet de sa chanson dont elle prétend que ça ressemble a un tas de choses.
Ce qui lui semble moins le cas pour une autre chanson, qu’elle n’aime pas forcément plus que l’autre,
“L’amour ne dure pas toujours”. Finalement toutes les chansons slow se ressemblent selon Françoise
et la chanson “J’aurais voulu” des nouvelles chansons de Françoise est la préférée de Mireille ét de
Françoise.
Pour les “petits” qui s’impatientent et trouvent que ça ne va pas assez vite Mireille insiste sur le fait
que ça prend du temps avant que le succès arrive. Comme pour Françoise qui raconte que ça marche pas
mal depuis un an et qu’elle a commencé à faire des chansons deux ans avant ça. Ca fait donc trois ans
mais Mireille, pas forte en calcul, en fait en gros 4 à 5 ans, peut-être pour ne pas décourager (ou perdre)
ses élèves.
Mireille avoue que Françoise est sa reine et qu’elle l’a connue très assidue, travaillant beaucoup.
Elle l’a espionnée un tas de fois. Françoise réplique qu’elle en était au courant, qu’on lui avait rapporté
ça et Mireille en conclut que Françoise elle-aussi a des espions.
Françoise parle du trac, de la “goutte d’eau” quand le gorge se serre et rien ne sort. En fait ça lui arrive
tous les soirs. Mireille lui avise de bien respirer, parle de l’importance du plexe solaire que Françoise ne
connaît pas. Mireille en déduit qu’elle a encore plein de choses à apprendre à Françoise. Parlant de
trac Françoise cite la salle Gaveau où elle avait eu un trac énorme et où Mireille lui avait pris la main.
Sur scène il est difficile à Françoise de se concentrer sur sa respiration, elle le fait dans les “noirs”.
Mireille a l’impression que Françoise se sent moins à l’aise avec des chansons rapides. Françoise dit
qu’elle a surtout un répertoire de chansons lentes mais avoue qu’avec des chansons rapides il faut
davantage penser aux gestes qu’au texte.
Anthony) parle carrière avec Mireille. On est venu la chercher au bout de la matinée pour visiter le
petit conservatoire. Mireille propose à Françoise de ramener toute la classe à L’Olympia et Françoise
dit qu’elle ne demande pas mieux.
Mireille lui demande une chose difficile, de fredonner une chanson qu’elle aime bien “J’aurais voulu”
ce qui semble presque un obstacle insurmontable pour Françoise qui finalement chante, en vitesse,
un petit bout du premier couplet de sa chanson dont elle prétend que ça ressemble a un tas de choses.
Ce qui lui semble moins le cas pour une autre chanson, qu’elle n’aime pas forcément plus que l’autre,
“L’amour ne dure pas toujours”. Finalement toutes les chansons slow se ressemblent selon Françoise
et la chanson “J’aurais voulu” des nouvelles chansons de Françoise est la préférée de Mireille ét de
Françoise.
Pour les “petits” qui s’impatientent et trouvent que ça ne va pas assez vite Mireille insiste sur le fait
que ça prend du temps avant que le succès arrive. Comme pour Françoise qui raconte que ça marche pas
mal depuis un an et qu’elle a commencé à faire des chansons deux ans avant ça. Ca fait donc trois ans
mais Mireille, pas forte en calcul, en fait en gros 4 à 5 ans, peut-
Mireille avoue que Françoise est sa reine et qu’elle l’a connue très assidue, travaillant beaucoup.
Elle l’a espionnée un tas de fois. Françoise réplique qu’elle en était au courant, qu’on lui avait rapporté
ça et Mireille en conclut que Françoise elle-
Françoise parle du trac, de la “goutte d’eau” quand le gorge se serre et rien ne sort. En fait ça lui arrive
tous les soirs. Mireille lui avise de bien respirer, parle de l’importance du plexe solaire que Françoise ne
connaît pas. Mireille en déduit qu’elle a encore plein de choses à apprendre à Françoise. Parlant de
trac Françoise cite la salle Gaveau où elle avait eu un trac énorme et où Mireille lui avait pris la main.
Sur scène il est difficile à Françoise de se concentrer sur sa respiration, elle le fait dans les “noirs”.
Mireille a l’impression que Françoise se sent moins à l’aise avec des chansons rapides. Françoise dit
qu’elle a surtout un répertoire de chansons lentes mais avoue qu’avec des chansons rapides il faut
davantage penser aux gestes qu’au texte.
16 novembre 1963 : Françoise parle de son spectacle à l’Olympia
La télé italienne nous offre en novembre ‘63 deux émissions avec Françoise Hardy.
Le 9 novembre elle diffuse Piccola Enciclopedia Panelli et le 27 novembre “Trenta minuti con Françoise Hardy”.
Les émissions sont réalisées début septembre à Rome. (voir dossier septembre 1963)
Le 9 novembre elle diffuse Piccola Enciclopedia Panelli et le 27 novembre “Trenta minuti con Françoise Hardy”.
Les émissions sont réalisées début septembre à Rome. (voir dossier septembre 1963)
Le 9 novembre Françoise chantait son tube “L’eta dell amore”
dans l’émission Piccola Enciclopedia Panelli, présentée
par e.a. Paolo Panelli
dans l’émission Piccola Enciclopedia Panelli, présentée
par e.a. Paolo Panelli
Françoise Hardy se produit une première fois à
“Format 16/20”, l’émission wallonne pour les
jeunes qui connait sa deuxième édition le
7 novembre 1963
Vedette principale est Claude François
qui interprète 5 de sus succès.
On retrouve facilement sur Internet ces vidéos
avec Claude mais jusqu’ici (30/09/2024) aucune
trace de Françoise à part les programmes de télé.
“Format 16/20”, l’émission wallonne pour les
jeunes qui connait sa deuxième édition le
7 novembre 1963
Vedette principale est Claude François
qui interprète 5 de sus succès.
On retrouve facilement sur Internet ces vidéos
avec Claude mais jusqu’ici (30/09/2024) aucune
trace de Françoise à part les programmes de télé.
La Voix du Peuple 04/11/63
Le Soir 07/11/63
Format 16/20 7 novembre 1963