Juin 1968
MAT 01/06/68
Françoise aspire à une vie casanière. Plus de tournées mais
d'avantage écrire et enregistrer des chansons, loin des phares
de la célébrité.
Garbo N° 795 01/06/68
Moins 20 01/06/68
JDF N° 707  29/06/68
Hola N° 1249 03/08/68
HITPARADE  juin 1968
Je ne sais pas ce que je veux : 12ème place
(info Juke-box Magazine N° 259  Spécial 68)
FRANCE


Nous sommes en  12 juin 1968 à Amiens.

Le 12, le quotidien local Le Courrier Picard publie un communiqué de l’ORTF Amiens-Picardie. La station régionale
explique pourquoi elle est en grève. Elle annonce que des tracts seront distribués dans la ville et que le soir, à 21 heures,
un grand meeting-gala se tiendra au cirque municipal (une construction en dur bien connue des Amiénois pouvant
contenir 6 000 spectateurs). Interviendront le journaliste sportif François Jannin (spécialiste de la natation et ardent
militant syndicaliste), Michel Drey, également du service des sports, le présentateur Gérard Klein, dont les sympathies de
gauche sont discrètes mais connues, et le chanteur Jo Dassin.

Le 13 juin, jour du gala, Le Courrier Picard apporte d’importantes précisions. Jacques Dutronc (disons anar de droite),
Françoise Hardy, Marie Laforêt et Éric Charden (clairement de droite) seront de la fête. Il est signalé que Joe Dassin
fera malheureusement faux bond.
UK fashion magazine FLAIR, June 1968.
L'Etoile  06/06/68
Le Progrès  06/06/68
L'Etoile 25/05/68
Le Progrès 01/06/68
Ce n'était peut-être pas la meilleure des
idées de mettre cette tenue super lourde de
Rabanne par telle chaleur (30°).
Françoise Hardy : " J'ai toujours soutenu que mes derniers galas ont eu
lieu à Kinshasa, mais tout le monde voulait que ce soit au Savoy que j’aie
chanté sur scène pour la dernière fois. En mon for intérieur je savais que
cette pause dans les tournées serait prolongée indéfiniment car le trac
récurrent m’obsédait, les incessants et les séparations m’étaient éprouvants...
Je me souviens très bien de l'hôtel qui était épouvantable et il me semble
vaguement que j’avais pris l’avion au Bourget, plus sûrement qu’on avait
atterri là au retour du Congo et je me souviens que Jacques était venu me
chercher – il l’a fait très peu souvent".
Le Désespoir des singes